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 Radu DRACULA 1 .roman.

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Philippe Lemaire
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MessageSujet: Radu DRACULA 1 .roman.   Radu DRACULA 1 .roman. Icon_minitimeLun 22 Nov - 12:15

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MessageSujet: Re: Radu DRACULA 1 .roman.   Radu DRACULA 1 .roman. Icon_minitimeLun 22 Nov - 12:25

J' avais promis de poster quelques extraits du roman, voilà donc le prologue. En fonction des chapitres et afin de donner des points de vue différents, le narrateur sera parfois Radu lui-même, comme dans ce prologue, parfois d' autres personnages du roman. Je tiens à préciser que les données historiques dont fourmille ce prologue sont rigoureusement exactes, bien qu' aménagées par Philippe Ward et moi-même. Twisted Evil Wink

RADU BASARAB DRACULA
TOME 1 : LA QUÊTE

PROLOGUE
TRANSYLVANIE 2010


Vous connaissez la Roumanie ? Ce pays vous inspire de nombreux clichés sans doute… Le joug soviétique pendant des dizaines d’années et maintenant une population qui a souvent tout à découvrir de l’Europe que le pays vient de rejoindre économiquement. Et puis les roms de Bucarest qui répandent leur mendicité à travers le monde, la fin tragique bien que logique des Ceaucescu. Il est impossible de parler de la Roumanie sans avoir à aborder des thèmes sombres. Et je ne vous ai pas – encore – parlé du célébrissime Comte Dracula qui est sans doute le plus connu des roumains à travers le monde.

La Roumanie contient pourtant bien plus de richesses et de centres d’intérêt que ces clichés peuvent le laisser supposer. Particulièrement la Transylvanie à laquelle je suis durablement attaché et où je demeure depuis un certain temps. Un temps certain devrais-je dire.

Le pays par delà la forêt est sans conteste la plus belle région de Roumanie, la plus sauvage et la mieux préservée. Une carte vous indiquera que la Transylvanie est située en plein centre du pays, traversée du nord au sud par les Carpates. Les hauts plateaux de la région de Cluj Napoka font penser aux steppes d’Asie centrale. Les cultures y sont parsemées, beaucoup de paysans roumains se contentant de travailler la terre pour subvenir uniquement aux besoins de leurs familles. Des troupeaux d’ovins ou de bovins paissent ici et là, mais nous sommes loin de l’élevage intensif comme il se présente en Europe de l’ouest.

Les roms qui ici portent plutôt le nom de tziganes se chargent de ravitailler en matériaux divers les villages perdus dans cette immensité de hauts plateaux. Bien sûr, la nature a conservé tous ses droits et le paysan transylvain suit le rythme qu’elle lui impose. Un peu le contraire du reste de l’ Europe où l’agriculture est devenue une véritable industrie. A l’approche de la frontière avec la Bucovine, dans les monts Birgau (que vous avez pu voir orthographié Borgo…) la nature est reine.

Nulle part en Europe vous ne verrez une forêt si dense. Les sapins y forment une véritable mer qui recouvre presque entièrement les montagnes à l’ exception des pics les plus élevés. Les arbres sont si hauts et si épais qu’ils donnent l’impression d’être noirs : noirs comme le bois des maisons des transylvains, noirs comme le loup et l’ours qui vivent ici en maîtres, noirs comme les vieux murs de mon château.

Je vis au milieu de cette immensité végétale, ou plutôt je réside car je ne suis plus tout à fait vivant.

Oh, j’imagine que suite à cette phrase, vous avez votre petite idée sur mon identité, si ce n’était pas déjà fait pour les plus érudits d’entre vous en matière de… d’histoires fantastiques dirons-nous. Les clichés ont la vie dure n’est-ce pas ?

Je ne suis pourtant pas certain que vous sachiez qui je suis réellement, et j’aurais même l’audace de dire que j’en doute. Vous avez pourtant certainement raison sur plusieurs points ; je suis effectivement un noble roumain comme vous l’aviez deviné, je suis aussi ce que vous appelez un vampire et l’un de mes noms usuels est effectivement Dracula.

Pour le reste, je crains que vos trop nombreuses lectures ou votre goût immodéré pour le cinéma ne vous incitent à me prendre pour quelqu’un d’autre, une personne que je déteste et qui n’a jamais été ce que certains prétendent. Non, le Diable ne lui a jamais entrebâillé la porte qu’il m’a ouverte.
Mais sans doute vaut-il mieux vous relater mon histoire afin d’éviter toutes confusions, Satan m’est témoin qu’il y en a eu assez à ce jour.

Je suis né en 1437 à Sighisoara et j’ai eu droit à une enfance heureuse pour les critères de l’époque. Ma mère, Vassilisa Musat, issue de la noblesse de Transylvanie, n’eut guère le loisir de choisir son époux car telle était la coutume dans les familles possédant un certain rang au XVème siècle. Le choix de mes grands-parents se porta sur Vlad Basarab, un défenseur de la chrétienté ayant été élevé à l’ordre du Dragon (Dracul en roumain) plusieurs années auparavant. Le fait que mon futur père ait déjà convolé en justes noces et ait plusieurs héritiers ne fut bien entendu pas un souci. Pour ma part, je m’ en moquais, étant à l’aube de ma vie, même si cette prestigieuse ascendance allait bien me servir quelques années plus tard. Elle me causa cependant des contrariétés bien plus vite que je ne l’aurais imaginé.

J’étais, voyez-vous, un enfant porté sur tout ce qui touchait à la beauté de près ou de loin, et me révélais aussi avide de connaissances. Les tableaux qui ornaient les murs de notre château avaient captivé mon attention dès que j’eu posé les yeux dessus. La faculté des artistes à reproduire des scènes agréables à mes yeux me fascinait. La bibliothèque de mon père m’intriguait aussi. Je devinais qu’il existait dans tous ces livres et parchemins de quoi exacerber mon imagination déjà fertile. J’obtins, non sans difficultés, l’autorisation d’apprendre à lire. Savoir écrire son nom paraissait en effet bien suffisant pour un jeune boyard qui était davantage appelé à manier l’épée que la prose. Mais j’étais déjà têtu et fini par obtenir gain de cause, bien aidé il est vrai par le fait que mes deux frères aînés, Mircea et Vlad, avaient plus de chances que moi de devoir porter un jour la couronne et diriger le voïvodat.
Je passais alors le plus clair de mon temps partagé entre la bibliothèque de mon père et mes promenades en solitaire dans les sombres et splendides Carpates pendant que mes frères aînés s’initiaient aux arts de la guerre avec les meilleurs maîtres d’armes. Ma mère s’inquiétait de ce côté rêveur, craignant de ne pas avoir donné à Vlad Dracul un fils digne de son rang.

J’avais peut-être sept ou huit ans lorsque mon père m’emmena avec mon demi-frère Vlad à la cour du Sultan à Andrinople. Pour des raisons que je ne découvris que bien plus tard, j’allais y rester le reste de mon enfance et même un peu plus.

Les turcs n’étaient pas réellement méchants avec nous, mais ils prirent notre éducation en mains. Ainsi, nous étions toujours traités comme les fils du voïvode de Valachie que nous étions, mais pas question d’échapper à l’apprentissage des techniques de combat, à la monte et au dressage des chevaux, bref, tout ce que je détestais. Il n’en fut pas de même pour mon frère Vlad qui se délectait en découvrant les multiples façons de torturer que les turcs maitrisaient.

Contraint et forcé, je devins un Seigneur de guerre. Moi et mon frère eûmes même l’honneur d’être reçus dans les rangs des janissaires, la garde personnelle du Sultan.

Puis, mon frère me fit ses adieux un jour. Il allait reprendre le trône de notre père disait-il. Je n’ai jamais prêté beaucoup d’attention aux lubies de Vlad et me moquait un peu de son avenir. Si les turcs étaient prêts à l’aider à monter sur le trône de Valachie, eh bien qu’il y aille, sa compagnie ne me manquerait en aucune façon.

Je restais donc seul avec mes amis turcs, rien ne m’incitant à retourner en Transylvanie ou en Valachie depuis qu’un courrier du voïvodat m’avait appris que ma mère avait été retrouvée morte. Le sultan ne prit alors même pas la peine de me préciser les causes de son décès.

Peu après, j’eus une altercation avec Mehmet, le fils du Sultan Murad II. Mehmet semblait éprouver une affection pour moi qui allait bien au delà de la camaraderie et je réagis avec violence à ses avances. Je le frappai de mon épée, heureusement pour moi sans gravité, et me retrouvai tout de suite après avec une horde de janissaires aux fesses. Murad me pardonna mais je fus régulièrement désigné ensuite pour prendre une part de plus en plus active aux opérations militaires de l’armée ottomane.

Jusqu’ au jour où ce fut dans mon propre pays que j’eu à intervenir.

Mehmet avait alors remplacé son père et le nouveau Sultan était aux prises avec le voïvode de Valachie : Vlad Dracula mon propre frère !

Ainsi, Vlad qui arborait fièrement ce nouveau surnom de Dracula, signifiant fils de Dracul, s’était retourné contre ceux qui l’avaient aidé à reconquérir le trône de Valachie après la mort de notre père.

J’appris que ses lubies par rapport à la torture avaient pris des proportions invraisemblables. Il mettait ainsi en application les différentes techniques de torture acquises à Andrinople, aussi bien contre les turcs que contre son propre peuple, affichant une nette préférence pour le supplice du pal qui lui valut un autre surnom : Vlad Tepes, l’empaleur en roumain.

Je chevauchais aux côtés de Mehmet, étant alors un de ses plus proches lieutenants, lorsque nous arrivâmes devant une scène d’horreur dressée par Vlad à notre intention. Au détour d’une colline se dressait devant nous ce que les historiens appelleraient plus tard « la forêt des empalés ». Ce boucher de Vlad avait fait empaler des milliers de soldats turcs et jusqu’ aux monts délimitant l’horizon, on ne voyait que des pals plus ou moins hauts, certains supportant des cadavres de plusieurs semaines à la puanteur insoutenable, d’autres, les plus proches de nous, n’ayant pas encore fini de remplir leur œuvre sur nos soldats hurlants.

Ce spectacle emplit Mehmet de haine, mais surtout de frayeur. Le pal était certes un mode d’ exécution connu et prisé des turcs, mais laisser ainsi pourrir des cadavres sans leur accorder de sépulture dépassait l’ entendement du Sultan. Il me demanda de m’occuper moi-même de mon frère, me promettant le trône de Valachie si je parvenais à le vaincre.

Ayant à ma disposition une armée bien plus conséquente que celle de Vlad qui ne bénéficiait pas de l’appui des transylvains ni même de tous les valaques, je me lançai sur ses traces, recueillant sur mon passage le soutien d’une partie du peuple lassée des horreurs de mon demi-frère. Une fois Vlad en fuite, je ne savais que trop bien où aller le chercher. La forteresse de Poienari sur l’Argès l’avait toujours obnubilé de par sa position géographique et ses traces me confirmèrent qu’il avait fuit dans cette direction avec ses partisans, des roturiers pour la plupart dont le mérite principal était de partager les goûts sadiques de Vlad. Et je l’y trouvais.

Cet immonde personnage s’était permis de renforcer les défenses de la forteresse en mettant au labeur des nobles roumains qu’il avait remerciés en… les empalant bien sûr !

Vaincre sa bande de bouchers ne fut pas aisé en raison de la position de nid d’aigle de la place forte, mais il m’insupportait de laisser le pays aux mains du monstre qu’était devenu Vlad et j’eu le dernier mot. Je déplorais que son épouse eut le mauvais reflexe de se jeter du haut d’une des tours du château, craignant à tord que je me montre aussi cruel que mon frère, et je regrettai encore plus de ne pouvoir mettre la main sur ce dernier.

La forteresse de Poienari n’était pas seulement construite au sommet d’un piton rocheux, elle était aussi pourvue d’un souterrain par lequel Vlad prit la fuite. Une fuite qui ne dura guère puisque le roi Matthias de Hongrie se chargea de mettre la main sur le monstre puis de l’enfermer.

Voilà comment je devins Prince de Valachie, moi, le plus jeune de trois frères.

Je pus alors m’abreuver de mes lectures préférées, me délecter des plus beaux tableaux, de collectionner les œuvres d’art que j’affectionnais, d’en découvrir d’autres aussi, comme celles des artistes de l’antiquité qui semblaient aussi amoureux de la beauté que moi.

Cet amour de la beauté sous toutes ses formes, et peut-être aussi mon physique qu’on qualifie souvent d’avantageux, me valurent le surnom de Radu l’Elégant. Un surnom bien d’époque que je n’ai jamais apprécié. A l’instar de mon frère Vlad, et c’est sûrement notre seul point commun, j’ai toujours préféré le nom de Radu Dracula, le fils de Dracul, en hommage à mon père qui était si fier de ce titre.

Je m’entourai d’une cour de mon choix, privilégiant les Basarab bien sûr, et décidai de vivre dans la ville qui s’appelle aujourd’hui Bucarest après y avoir fait réaliser quelques travaux.

Je pris épouse afin de me conformer aux usages en vigueur, mais j’avoue avoir été un piètre mari. Depuis ma première aventure avec Mehmet, j’ai toujours eu du mal à définir si ma préférence allait aux femmes ou aux hommes. De plus, avec les uns comme avec les autres, la fidélité n’est pas au nombre de mes vertus. Maria me donna malgré tout une fille que je décidai de baptiser du même prénom que sa mère.

J’avoue aussi que je ne me sentis pas particulièrement investi d’une mission sacrée à gouverner la Valachie, mais avec moi du moins, le peuple n’eut plus à redouter les horreurs de Vlad, et c’était suffisant pour être en paix avec ma conscience.

Puis je mourus. De la syphilis comme c’était à prévoir, loin de Bucarest, dans un de mes manoirs préférés au nord de la Transylvanie, là où je n’ai qu’à regarder dehors pour être ébloui par les beautés naturelles qui me sont si chères.

C’était en octobre 1476. C’est ce jour que commence ma véritable histoire.
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MessageSujet: Re: Radu DRACULA 1 .roman.   Radu DRACULA 1 .roman. Icon_minitimeMer 8 Déc - 10:13

Le site concernant mes divers forfaits est en ligne :

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MessageSujet: Re: Radu DRACULA 1 .roman.   Radu DRACULA 1 .roman. Icon_minitimeDim 24 Nov - 13:11

La version numérique du tome 1 sera incessamment sous peu disponible chez L'ivre Book à cette adresse :

http://www.livre-book-63.fr/

Les mêmes couvertures que celles réalisées pour Rivière Blanche seront utilisées :

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MessageSujet: Re: Radu DRACULA 1 .roman.   Radu DRACULA 1 .roman. Icon_minitimeVen 5 Sep - 13:25

Une nouvelle chronique du tome 1 suite à sa parution en version numérique chez l'Ivre Book :

http://malka-re-v-alite.blogspot.fr/2014/03/radu-dracula-philippe-lemaire-et.html
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MessageSujet: Re: Radu DRACULA 1 .roman.   Radu DRACULA 1 .roman. Icon_minitimeJeu 10 Sep - 12:20

Encore une critique du tome 1 : http://theimaginarium.forumactif.org/t144p30-editeur-riviere-blanche#5226
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MessageSujet: Re: Radu DRACULA 1 .roman.   Radu DRACULA 1 .roman. Icon_minitimeMer 25 Nov - 15:29

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Découvrez-en davantage sur mon site ici :

https://sites.google.com/site/philip63lemaire/romans-nouvelles-art-books/c-radu-dracula-tome-1
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MessageSujet: Re: Radu DRACULA 1 .roman.   Radu DRACULA 1 .roman. Icon_minitimeVen 16 Déc - 16:40

Changement d'éditeur numérique, c'est désormais chez Lune Ecarlate que vous pourrez vous procurer les livres de cette série.

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MessageSujet: Re: Radu DRACULA 1 .roman.   Radu DRACULA 1 .roman. Icon_minitimeMer 15 Fév - 12:48

Le tome 1 est disponible en version numérique chez Lune Ecarlate à cette adresse :

http://lune-ecarlate.com/produit/prenez-buvez-ceci-sang-radu-basarab-dracula-1/

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MessageSujet: Re: Radu DRACULA 1 .roman.   Radu DRACULA 1 .roman. Icon_minitimeLun 16 Aoû - 14:25

Suite à la fermeture des éditions Lune Écarlate, vous pouvez vous procurer ce tome 1 chez Amazon. Liens sur mon site à cette adresse :

https://sites.google.com/site/philip63lemaire/romans-nouvelles-art-books/c-radu-dracula-tome-1

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